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BIVOUAC...! Grande FACHE..! et "Trés Bons Moments"

Le 28/07/2020

Lacs Cambales / Lacs Opales, Bivouac et Grande Fache...!

Voila en quelques mots le résumé de ce week-end du 25/26 juillet dernier...mais ce serai "trés réducteur"et inimaginable de ma part,de faire aussi court .

Il y a des "moments" dans la vie,qui comptent plus que d'autres. La raison? tient souvent a peu,mais certains de ces moments,restent suffisamment longtemps pour s'en rappeler.

Ces moments là,..!Ceux que j'ai vécu récemment,le seront..!Dsc04028 copie

Ces "moments" de franche amitié, de rigolades, d'humour et de fraternité,ces "moments",qui comptent, dans l'effort, la convivialité, mais aussi aprés, au dela d'une simple randonnée.

MERCI déjà a ceux qui permettent que nous aussi,(encadrants) puissions nous rappeler de ces"moments" là..et continuer a être fier et sensible a vos "Merci"...en toute  simplicité..

Mais,au dela de ces appréciations personnelles,je vais tenter de vous faire partager,par ce récit,(un peu long),ces fameux "moments là.

Rien n'aurai été possible sans une météo idéale.

Pas un nuage,(ou si peu),durant ces deux jours,mais aussi et surtout pendant le nuit..

Point de vent fort,et une température nocturne acceptable pour bivouaquer.Voilà pour la météo..

11 Gars et Filles,lourdement chargés (je parle des sacs..) en matériel,mais surtout en courage et volonté,pour partir a l'assaut de ce sommet (3005 m) si souvent entendu,et qu'une seule personne du groupe avait gravi jadis..(Henriette)

D'abord scindé en deux groupes (pour des raisons personnelles),la première équipe de trois "éclaireuses" partie la veille de Cauterets, devait nous rejoindre aux abords du Lac d'Opale ...ou "par là"...

Mais avant,il y a cette interminable montée du "Cayan","plateau Marcadau",tout autant pénible et long a monter,qu'a descendre,une vrai "torture"...la fatigue et le soleil écrasant du retour..interminable...!(En plaisantant,je me dis que celui qui,un jour met en place une navette "Refuge Wallon-Pont d'Espagne",va s'enrichir en rien de temps.

Mais revenons a notre groupe.!

Jonction est faite non loin de l'endroit prévu, au petit lac d'Opale. Le groupe de "3",ayant suivi le GR 10,jusqu'aux Lacs de Cambalès (2400 m),est redescendu jusqu'au Lac d'Opale (2260m).

Chacun des groupes, ayant pris sa "pause pic-nic" auparavant, l'équipe de 11(et c'est pas du football), reconstitué, entreprend enfin, la descente au niveau du refuge Wallon,d'ou on prendra le sentier qui nous mènera demain vers le Col et la Gde FACHE.

La fatigue, le soleil écrasant, le poids des sacs a dos,et la faim grandissante, tous ces éléments combinés,mettent a mal nos carcasses. On voudrais bien arriver au "bivouac" prévu autour du Lac de la Fache, mais c'est trop loin, trop haut...trop fatiguant..trop .

Autant "jeter"nos sacs et monter notre camp dés que possible,avant que le soleil se couche....et nous avec.

Un petit espace herbeux,relativement "plat",non loin du ruisseau du Marcadau",qui au passage nous a désaltérés durant ces deux journées,et servir de modeste "salle de bain",fera trés bien l'affaire..

Au "passage"(encore),Ruisseau du Marcadau,qui est une des sources de notre Gave de Pau...C Q F D.

Sur ce replat inespéré,bien vite,chacun organise son "espace" nuit. Tentes, Sursacs,Couvertures de survie étalées...tout ce petit groupe s'agite au mieux pour son bien-être nocturne.

Ensuite,tout naturellement,un "cercle d'affamés" se forme autour d'une "table virtuelle",et les "bonnes choses",tout autant liquides que solides sont partagées...! Du boudin,saucisson,fromage,tourte aux myrtilles,et autre bons crûs circulent aisément.

Si aisément,que j'en soupçonnent quelques uns,(es) de vouloir "alléger" leurs propres sacs....malin vous dites...?!

C'est de ces "moments là" que je voulais parler au début de ce récit...c'est facile a comprendre.!

Trop court,ces moments" !car le coucher du soleil laisse place a une réelle fraîcheur (nous sommes a 2260 m),et la fatigue aidant,chacun regagne peu a peu son "dodo"..!

La nuit se passera,relativement bien et calme, agréable.

Pour ma part,même si le sommeil a tardé a m'envahir, Je garderai en souvenir ce ciel étoilé de milles feux,sans aucune pollution lumineuse,permettant de contempler clairement;étoiles, avions traversant le ciel, et autres extra-terrestres..Non,je déconne..!

En tous cas,encore "un moment" magique.!

Au petit matin,non loin de 06h00,le camp se réveille doucement,sans grands bruits,chacun ayant plus ou moins bien dormis,on s'organise pour le "petit-déjeuner".

Autre "moment" s'il en est..des plus précieux,de pouvoir réchauffer son café (C.B.D) ,et de savourer lentement ce réveil...Car c'est bien connu,"le Bougon n'est pas du matin..!".

Alors,plus tard...plus tard encore...mais pas trop tard quand même, et aprés avoir "cachés" notre matériel lourd et inutile a l'ascension du sommet,nous voilà repartis,bien contents,et repus, pour une belle et grande journée.

L'ascension de la "Grande-Fache",même si ce n'est pas un (gros sommet),n'est pas a la portée du premier venu.

Chaque instant,cette montée,(et descente) demande attention et recherche constante du meilleur endroit a passer.Il faut sans cesse trouver une accroche Mains/Pieds franche et sure.

Certes,il y a de nombreux "cairns",mais certains vous amènent sur des "arêtes aériennes", au lieu de contourner.Il faut sans cesse "chercher" le meilleur passage.

,tant a la montée,qu'a la descente.

La Gde Fache se mérite....nous l'avons bien mérités...!

Parvenus au sommet, (tous) c'est avec une grande joie,une grande émotion,pour certains,d'être parvenu malgré tout, a surmontés ses craintes et peurs, en immortalisant ce "moment" avec des photos.

La descente sera trés concentrée,a de multiples reprises,quelques sacs a dos et "fesses" frotterons le rocher, mais l'essentiel est ailleurs. On l'a fait..!.

Le reste de la journée,de la descente au parking est sans grand intérêts...quelques "regroupements",remplissages de gourdes (en eau...bien entendu..! ).

Plusieurs kilomètres plus bas, chacun se change de vetements a l'arrière des véhicules.

Le retour est là, l'heure tourne, certains "bossent" le lendemain,d'autres ont de la route Sophie,Didier bref,le week-end s'achève.

 Mais déjà l'envie de recommencer un autre " bivouac"ou randonnée revient,juste pour pouvoir vivre encore un "bon moment"...!

Je termine juste,en remerciant le"trio"de vaillantes et courageuses "Randonneuses Montagne" (beaucoup de "euses") qui ont puisées leurs forces assez loin ..et bien sur,ceux et celles, qui m'ont accompagnés et assistés dans cette sortie,avec "mention" a Sophie...et Didier. (fayot).

Merci et Bisous a toutes : Henriette, Marijo , Marie-josé, Marisa, Nono L, Sophie , et Luc D, Luc B, Didier C, René.

Quelques chiffres et mesures tirés de ma carte IGN . Sur les 2 jours;  31.6 kms / Dénivelé Positif 2045 m et autant en négatif...

 

Les photos sont "pêle-mèle" içi, de Nono,Sophie,Luc,et bibi..si vous en voulez d'autres,contactez-mi...

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A BIENTOT...ADISHATZ..!

 

Fin du confinement. Enfin, quand les enfants de Pyrène nous apparaissent (de près) à nouveau.

Le 20/07/2020

J'offrais en 6 jours 4 sorties à ceux qui voulaient bien me suivre, un menu copieux voire gargantuesque à la vue de nos estomacs rétrécis par 2 mois de disette et de famine pédestre. Encore fallait il avoir retrouvé de l'appétit mais là aucun doute, le servietton autour de la bouche, le sourire caché mais trahi puisqu'il montait jusqu'aux oreilles car content de nous retrouver et que dire de nos jambes, elles pédalaient dans le vide comme si nous étions juchés sur des chaises hautes. De véritables bébés attendant leur pitance et moi le premier. Etaient présents autour de la table Didier L, Serge D, Sylvie G, Jean Marc B, Marie T, Marie Jo et Luc, Cathy P, Véro J pour ce repas de famille. Au menu donc, les gorges d'Ejuharré situées comme chacun le sait en Haute Soule, moins connues que ses voisines mais restées authentiques et sauvages. Ce premier plat qui s'avéra une bonne entrée (en la matière) était composé d'une soupe tantôt un peu fraîche, claire et peu consistante mais aussi grasse, épaisse et collante aux godillots ainsi qu'aux fessiers. Ce potage dont certains clients très affamés jugeant nécessaire d'y incorporer une bonne partie de leur corps, les pieds dans le plat ne suffisant pas fut repris 6 ou 7 fois tant que l'on était au fond du pot (gorges). Le chef de rang que j'étais s'aperçu très vite qu'il n'était pas dans le coup, laissant son regard suivre certaines serveuses se trompait de salle. Le métier de chef de rang ne s'improvise pas, pas question de faire visiter la cave par un escalier brinquebalant et glissant. Donc je repris très vite les commandes couteaux et fourchettes en mains. Pour le hors d'œuvre je décidais d'y incorporer fruits et légumes, le tout dans une ambiance vert concombre s'accommodant parfaitement avec la couleur de nos joues rouge tomate cuites à la vapeur à la vue des gouttes de sueurs sur nos fronts dès les premières raideurs de pentes. Pas question de ramener sa fraise et de se prendre le choux, on était là pour en baver et savourer. Pas question également d'appuyer sur le champignon tant que le plafond de la salle était gris et bas. Nous avancions en rang d'oignons dans cette forêt de hêtres droit comme des asperges et assaisonnée d'ails des ours. Une petite pause s'imposait au sortir des gorges, la grotte Molerse, petite salle annexe, histoire de faire les poireaux devant nos appareils photographiques et de trouver un coin à l'abri du vent pour continuer notre repas, le vrai. Enfin le mont Uruso se présentait devant nous, pas question là non plus de couper la poire en 2 et de raconter des salades, armés de nos bâtons comme des couteaux et des fourchettes, il fut avaler. Pour certains les carottes étaient déjà cuites mais de là, annoncer que c'était la fin des haricots, pas encore. Sous nos pieds 400m de vide, hauts comme 3 pommes on en menait pas large, c'était pas le moment de tomber dans les pommes. Là, nos cœurs d'artichauts mis en émois devant la beauté des lieux faisait oublier que l'on était qu'à la moitié du repas, la descente restait à faire. Cette descente à peine entamée me voila emporté par la foule (Véro) qui nous traine, tous les 2 coudes et genoux à terre, qui m'entraine, écrasés l'un et l'autre, nous ne formions qu'un seul corps. Et le flot sans effort mais non sans douleur nous pousse, enchainés l'un et l'autre, et nous laisse tous les 2 épanouis, enivrés et heureux mais grimaçant. Bon pour ce remettre de ces émotions, le beurre dans les épinards était le bien venu pour entamer officiellement la descente après cette cette farandole un peu folle. D'abord sucrée et légèrement acidulée il a fallu vite se mettre à l'évidence qu'avec la verticalité des lieux elle allait finir par être salée et amère pour quelque uns d'entre nous, gare aux chutes. Bon dans un souci de ménager la chèvre et le chou, d'accord pour ne pas finir sur un sentier que j'affectionne particulièrement, mais plutôt sur une bonne piste. Laisser ces dames sur le bord du chemin c'est pas très sympa mais si c'est pour la bonne cause... voila que 3 galants hommes pas encore rassasiés partirent chercher les voitures avec juste ceux qu'il faut de piquant pour ne pas faire chou blanc Au final personne n'a mangé les pissenlits par la racine. Voila une rando qui ne comptera pas pour des prunes, il fallait bien avoir la pêche et la banane pour remerciements. L'addition, j'en conviens peut paraître salée : 1100m pour 7h30 de marche pour une reprise.

Comme l'appétit vient en mangeant, la rando vient en marchant. Le premier plat à peine digéré, c'est Sophie qui se chargea de dresser la table sur sa chère terre Basque dans la province du Labourd du coté d'Itxassou. Pour ce repas en tête en tête sans chandelles mais avec un soleil omniprésent, le menu était composé de 3 pièces de choix, roties et dorées à point : le Mondarrain, le Gorospil et l'Artzamendi fumant encore à peine sorti du four. Une voiture laissée au pas de Roland, l'autre au col de Légarré notre point de départ. Le pic d'Escondray semblant trop indesgeste pour une heure si matinale pour être consommé sur place et trop saupoudré d'herbe de fougères fut évité par sa gauche et c'est depuis le col d'Amezketa que l'on entama la dégustation du Mondarrain quoi que sa montée assez directe et son sentier tracé telle une entaille faite au couteau bien aiguisé. Ensuite s'en suivit une longue mais appétissante course de crête en enchaînant pic d'Ourezti, mont de Bizkayluze et pour finir le Gorospil avec sa garniture de Digitale que ce jour là, un point commun entre Sophie et cette fleur existait (voir photo). Tantôt un pied en France tantôt un pied en Espagne nous permettaient d'atteindre le col des veaux et le col d'Iguzkielégui. Ensuite, on a beau tourner l'assiette dans tous les sens, il faut avoir encore faim pour l'avaler celui là. L'Artzamendi fut chipoté, pâturé, grignoté et englouti avec une pause au col de Méhatché et en prenant un petit supplément d'exercices physiques et acrobatiques le long de la clôture de l'enceinte coiffant le sommet. La descente vers le lieu dit Laxia fut une simple régalade sur un sentier que me faisait découvrir Sophie sous le pic Malda. Restait à trouver une petite note sucrée et acidulée, ce qui fut fait lorsque de magnifiques cerisiers regorgeant de cœur de pigeon bordant notre chemin final se présentaient à nous et surtout nos papilles gustatives. Il n'y avait plus qu'à ce servir en levant les bras. Ne croyait pas que la nappe fut dressé dans ce lieu qui ne manque pas de coin de verdure, les 1000m de déniv furent dépassés pour 8 h passés dans dans la nature. Par contre quelque chose me dit que ce lieu peut convenir très bien à une rando resto. A suivre.

Bon un repas sans dessert n'est pas un véritable repas, et comme le dessert parfois se mérite, direction le cirque du Litor au fond de la vallée de l'Ouzom, entre Aubisque et Soulor, entre Basses et Hautes Pyrénées. Seuls quelques uns d'entre nous ont pu le déguster car il a fallu le chercher. Je vous rassure tout le monde a eu sa part de douceurs sucrées. Les moins gourmands se sont contentés du "Turron" de Saucède avec 700m de dénivelé dominé par l'imposant Pic de Gabizos, une véritable pièce montée soit dit en passant en cheminant par le col de Soum et son lac, le Cap d'Aout et le col du Soulor. Alors pour 300m de plus, qu'elle était donc cette délicieuse gâterie qui, non pas aller réveiller nos papilles et faire baver nos babines mais plutôt dilater nos pupilles ? Harponnés pour certains, couchés pour d'autres ou à cheval pour quelques uns sur la pointe de Surgatte dominant de 800m la vallée d'Arrens, c'est bien le Balaîtous tout juste sorti du réfrigérateur hivernal dégoulinant de crème glacée qui fut apprécié et admiré. Le retour allait se faire sous une température chaude en ce jeudi 21 mai avec quelques petites surprises que n'apprécient pas nos molets et cuisses surtout en fin de journée et après 18kms tout de même dépassant allègrement encore une fois de plus les 1000m de déniv. Pour ce banquet furent présent Véro, Marie S, Marie T, Denise F, Didier L, Marie José, Roland, Fabienne, Sophie, Henriette, Maïté, Marie Jo, Jean Marc, Marisa, Géraldine, Denise T, les 2 minots Margaux et Christophe et mes lieutenants du jour que je remercie qui sans eux tout ce petit monde n'aurait pas pu sortir et se retrouver Luc y Luc et Joseph. Merci donc à eux ce qui a permis de scinder le groupe mais pas d'éviter les remarques d'un "nain" de jardin de Pyrène un tantinet comptable et grincheux.

Manquerait il pas un plat me diriez vous ? Le poisson me semble t'il ? Tout juste. Donc le lendemain du dessert, revenir au salé pourquoi pas. Puisque cela était son désir, c'est avec plaisir qu'un nouveau tête en tête m'était proposé toujours sans chandelle mais en espérant ne pas en voir 36 sur les flancs nord de cette montagne. Ce jour là c'est avec Marie Christine, encore une Basquaise mais sur des terres béarnaises cette fois ci, que ce poisson en forme de montagne (avec un peu d'imagination et surtout sans limite) que nous débarquions tous 2 frais comme des gardons au port de Castet. Après avoir traversé le bois de Séques le plat se trouvait devant nous . Au menu le Moulle de Jaut. Une montée assez directe en direction du col de Lallène puis s'en suivit un tricotage et décorticage plus alpin de son arête centrale ou crête de Coos parfois en équilibre ou bien sur les fesses jusqu'à son point culminant 2050m. Là haut pause repas puis c'est par la voie la plus directe et parsemée de petites arêtes rocheuses qu'il ne fallait pas avaler de travers du coté de la face nord que je ne connaissais pas et dont je remercie M. C. relevait encore plus la sauce qui jusque là n'avait pas manqué de piquant. Une rando qui ne se contenta pas que de sueur mais où il a fallu avoir du cœur et toujours une petite fleur des Pyrénées à offrir en l'occurrence à Marie Christine. 1250m de dénivelé mais surtout du bon temps comme toujours là haut.
L'APPETIT VIENT AUSSI EN MARCHANT
 

Lac et pic d'Er, les pierres gravées en prime

Le 18/07/2020

ce 18 juillet, 16 vaillants cafistes se retrouvent en dessous de Gabas pour attaquer une montée soutenue.
Frédéric, le plus toulousain des Corses, à moins qu'il ne soit le plus corse des Toulousains nous attend déjà sur place.
Le temps est splendide, assez frais, c'est parfait car le pourcentage sans être abominable est respectable.
La traversée des deux clairières nous offre un panorama fleuri, entre autres de superbes lis martagons.
Petit arrêt au dessus du lac, puis ça repart, il reste 500 m à grimper jusqu'au pic.
Sous la rassurante conduite de Joseph, toujours galant malgré son incessant bougonnement, quelques unes de ces dames vont sagement vers la cabane d'Er, nous sommes 10 je crois à monter jusqu'au pic.
Dire que la pente est douce ne serait pas vraiment conforme à la réalité!
Repas là haut puis descente par la crête qui va vers le pic d'Aule, prudence, car la moindre glissade se payerait au prix fort.
On se retrouve ensuite pour la chasse aux pierres gravées, on en trouve 8 ou 9, j'avoue avoir perdu le compte.
C'est toujours aussi émouvant à lire.
La plus ancienne qu'on trouvera date de 1891.Personne n’était né dans le groupe. Étonnant non?
Enfin, une longue descente nous amène au pot de l'amitié, bien mérité.
Superbe journée en compagne de copains extrêmement sympathiques.
Merci à Gisèle, Nicole, Julie, Henriette, Géraldine, Noëlle, Marie Jo, Marie Jo, Didier, Didier, Luc, Joseph, Renaud, Jean Marie, et Frédéric d'avoir été là.
Les photos, en esperant que ça marche...

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PARAMOUNDRAS..!Quésako.!?

Le 05/07/2020

PARAMOUNDRAS....! "Quésako".?

Si ce nom ne vous évoque rien, moi non plus..,jusqu'a hier.!

Alors,NON ,ce n'est pas le dernier long métrage de Disney..,ni un nouveau vaccin anti-Covid.., ni une nouvelle destination tendance de vacances....encore que..! Grace a notre aimable et charmante Sophie,(jeune recrue parmi les encadrants) au C.A.F, certains de nous se serons couchés "un peu moins ignares" ce Samedi soir...

Sur le littoral Océanique,le long de la côte Basque-Espagnole,en partant de Fuenterabia (Guipuzcoa),et visible uniquement par marée basse,nous avons découvert ce site d'étranges "sphères de grés".

"Formations rocheuses régulières et symétriques.Boules et cylindres de grés durs dans des grés tendres.Parfois localement bombées en "Poire",ou en forme de "tonneau" .

PARAMOUNDRAS du massif de Jaïkibel,en forme de boules...(Selon Wikipédia).

Voilà,pour le "coté" scientifique" de la chose. Sur un plan (plus humain),l'accés a ces curiosités,demande,outre de connaître les horaires de marées,et ne pas craindre "les épineux".

Vous voila prévenus,les sentiers qui menent au bord de l'océan,sont relativement fournis en fougères hautes, jeunes Genets, et autres branchages "piquants"...aîe..!..Ouille!..

Sophie aussi,nous avait prévenue et déconsellée le port du "short",malgrés cette belle journée estivale et la proximité de l'Océan...Que Nenni.! gare aux mollets..!

Mais ces petits instants urtiquants,"n'ont en rien altérés la curiosité des 14 participants. Certe,le massif du Jaïkibel est connu et fréquenté pour la belle balade jusqu'au sommet,ou culminent des antennes-radars,mais bon nombres d'entre-nous ignorent la présence proche des Paramoudras.

Coté "pratique",sur le terrain,a ceux qui sont habitués a cotoyer;Cimes,Cols et Sommets Alpins,le contraste est saisissant et sans comparaison.

Le "vert" des Alpages,laisse place a un "Bleu"aux multiples nuances..,les Roches grises,ou blanches de neige,se changent içi en "Ocres" vifs et bigarés..!

Au raz de l'Océan, autre symbole de notre beau département avec le Jean-Pierre, mon altimetre affichait "3"Metres..( Bonne occasion de le parametrer)..

Sophie,pour sa 1ere Rando en "qualité d'encadrante",a su organiser et maitriser avec "brio"cette journée.Elle connait bien les lieux,pour habiter a proximité (Hendaye),mais cele n'enleve rien a ses qualités de guide,et c'est en toute confiance que le groupe a suivi..

J'ai eu un grand plaisir cotoyer et l'entourer dans ses "premiers pas"d'accompagnatrice,mais,pour avoir fait de multiples randonnées avec elle, , je n'avais aucune crainte sur le déroulement de la sortie..2 1

Faut dire aussi,que le groupe présent ce Samedi,n'avait rien de "débutants",et encore une fois,en mon nom, je tiens a souligner l'importance; d'une bonne convivialité dans chaque groupe, de moments d'humour,de partages et surtout d'entente parfaite, et de cohésion pour passer une agréable journée et conserver de beaux souvenirs...

Je remercierais enfin;Toutes les charmantes et amicales participantes a commencer par Sylvie,Véronique,Noelle,Caroline (de retour),Fabienne,Marisa,Valérie (C-D) et bien entendu Sophie.

Les "Mecs" charmants aussi,(mais sur un autre plan);Jean-Marc,Denis,Jean-Marie,Roland,Julian (C.D)..

A bientôt pour d'autres articles sur nos belles randonnées,Alpines ou non..!

 

 

 

Topo de randonnée Chamonix-Zermatt

Le 28/06/2020

Du mont Blanc au Cervin, l’itinéraire traverse forêts et alpages, franchit des cols aux paysages sauvages, croise hameaux et villages à l’archi- tecture préservée, longe des lacs bleutés avec en toile de fond les plus hauts sommets. 

Cette seconde édition, actualisée et enrichie d’itinéraires bis, permet à chacun, à partir des quaztorze étapes minutieusement décrites et illustrées, de bâtir son programme en sept, neuf ou quatorze journées de marche.

Parution Juin 2020 

Nouveau livre d'escalade de Romain Desgranges

Le 27/06/2020

25 ans d’entraînement à haut-niveau, à raison de deux séances journalières. Soit plus de 219 000 heures passées à s’entraîner, pour atteindre le plus haut-niveau en escalade. Alors quand Romain Desgranges, multiple champion de France et d’Europe et vainqueur de Coupes du Monde, décide de raccrocher ses chaussons de compétiteur, il prend la plume. Et c’est bien entendu pour parler de ce qu’il affectionne le plus: l’escalade et surtout, l’entraînement. Livre paru le 18 Juin 2020

Manuel d'entraînement trail et ski-alpinisme

Le 22/06/2020

UP ! 

Kilian Jornet, la star du trail, a la passion de l’entraînement : depuis l’adolescence, il a poussé très loin cette exploration personnelle. Alors quand il a rencontré Steve House, auteur d’un fameux manuel d’entraînement à destination des alpinistes, il a décidé de partager sa fabuleuse expérience. Ils se sont mis au travail avec Scott Johnston, entraîneur de ski de fond de niveau olympique. Ensemble, ils ont conçu « Training for the uphill athlete », qui est déjà la bible d’un grand nombre de traileurs et d’athlètes du ski-alpinisme dans le monde entier.

Voici enfin ce manuel indispensable en version française : des centaines de tableaux, de graphiques, de photographies somptueuses ; des conseils, des programmes pour un travail progressif, intelligent, rigoureux et cohérent, avec les témoignages de nombreuses vedettes de l'endurance.

Parution Juin 2020

Sortie Pic d'Arlet en boucle

Le 26/05/2020

3ème sortie en 8 jours.
1100 m le 17/05, 1200 le jeudi suivant, 1300 dimanche 24, les restrictions virales n'ont pas entamé l’enthousiasme des troupes!
Dimanche donc, départ à 7 h au désormais célèbre pêcheur de Susmiou.
A la demande générale de Joseph, on fera le chemin par Aubise, encore que je trouve le trajet par Espelunguere plus joli, mais il n'aurait pas permis la boucle.
Montée tranquillou dans les nuages qui se déchirent au niveau de Banasse.